La note générale de ce roman (Otcharovannyt strannik, 1873, traduit Le Voyageur enchanté) est plutôt chagrine et pessimiste. Dans ce dernier, un type curieux de Gil Blas russe sert de prétexte à des tableaux infiniment variés et satiriques de la vie russe, celle de la Sibérie et des steppes méridionales. Nicolas Gogol et Mikhaïl Saltykov-Chtchedrine n'auraient pas mieux fait.