Cet ouvrage examine la capacité des rhizobia à noduler la luzerne et à résister à diverses contraintes abiotiques, telles que des concentrations élevées en sel, des variations de pH et un déficit en phosphore. Les résultats révèlent que certaines souches de rhizobia présentent une plus grande résistance à ces conditions. En outre, la co-inoculation avec des bactéries PGPR a favorisé la croissance et la tolérance au stress des plants de luzerne, en améliorant notamment l'absorption du phosphore et en optimisant les processus liés à la photosynthèse.