Depuis un demi-siècle, les connaisseurs de G. Le Rouge tiennent Le prisonnier de la planète Mars (et sa suite, La guerre des Vampires) pour son chef-d'oeuvre. C'est peut-être aussi le plus bizarre de tous les romans inspirés par la planète rouge. Grâce à l'énergie psychique dégagée par plusieurs milliers de fakirs rassemblés dans un monastère de l'Inde, Robert Darvel est projeté sur Mars.